La situation sanitaire actuelle à l’échelle mondiale a changé la façon dont les journalistes font leur travail, et un nombre croissant d’entre eux travaillent à domicile plutôt qu’au bureau. Cette situation crée des problèmes de sécurité numérique pour les journalistes et les organes de presse qui doivent continuer à travailler pendant l’épidémie de coronavirus.
Nous, les 81 organisations de médias, de défense de la liberté de la presse et de défense des droits de l’homme soussignées, vous écrivons pour demander à vos gouvernements respectifs de libérer tous les journalistes emprisonnés dans vos pays, alors que la pandémie du COVID-19 se propage dans le monde.
New York, 24 mars 2020 – Les autorités nigériennes doivent libérer immédiatement le journaliste Kaka Touda Mamane Goni et abandonner tous les poursuites contre lui, a déclaré aujourd’hui le Comité pour la protection des journalistes.
Mis à jour le 20 mai 2020 Le 11 mars 2020 l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a déclaré que l’épidémie de COVID-19 (nouveau coronavirus) avait évolué en pandémie. Bien que le nombre de nouveau cas enregistrés continue d’augmenter dans le monde entier, selon l’OMS, beaucoup de pays constatent actuellement un déclin régulier du taux…
Miami, le 26 février 2020 – Les autorités haïtiennes doivent procéder rapidement à une enquête approfondie sur l’incendie criminel subi par les bureaux de Radio Télévision Caraïbes et traduire les responsables en justice, a déclaré aujourd’hui le Comité pour la protection des journalistes.
New York, le 18 février 2020 – Les autorités camerounaises doivent libérer immédiatement le journaliste Martinez Zogo, abandonner tous les chefs d’accusation retenus contre lui, et réformer le code pénal du pays pour dépénaliser la diffamation, a déclaré aujourd’hui le Comité pour la protection des journalistes.
Vancouver, Canada, 6 janvier 2020 – Les autorités tchadiennes devraient libérer le journaliste Ali Hamata Achène, et mettre un terme aux procédures criminelles pour diffamation et aux représailles contre les reporters, a déclaré aujourd’hui le Comité pour la protection des journalistes.
Alors que les conflits et les assassinats à titre de représailles sont en baisse, le nombre total de journalistes tués en raison de leur travail a fortement chuté New York, 17 décembre 2019 – Le nombre de journalistes tués dans l’exercice de leur fonction en 2019 est tombé à son niveau le plus bas en…
Alors que les guerres se sont atténuées et que le nombre de journalistes assassinés en représailles à leurs reportages n’a jamais été aussi bas, le nombre total de journalistes tués en raison de leur travail a fortement chuté en 2019. Un rapport spécial du CPJ par Elana Beiser